I love New York

Petite pause avec mon petit-fils au cœur de Manhattan. On est en train de se forger de magnifiques souvenirs. Bien hâte de vous en parler!

Je vous reviens lundi prochain.

À bientôt !
xoxo

Jocelyne (Mésange)



La tarte ou le café, c’est bien!

Si vous n’avez pas vu le film MIB 3, il est temps de vous y mettre; c’est à voir non pas pour les horribles bestioles qui crèvent l’écran, mais plutôt pour la finale. À elle seule, elle mérite que l’on supporte l’écoeurante créature qui donne du fil à retordre à nos deux héros. La scène que je préfère, c’est celle où les deux agents, K et J, font face à un problème de taille : un dangereux criminel leur a échappé. Et au lieu de partir à sa recherche, l’agent K propose à son partenaire quelque chose d’assez inusité : « Il nous faut une tarte… Mon grand-père disait : "En cas de problème insoluble, ça libère la tête." La tarte, c'est bien. »
 
Vous en conviendrez : ce n’est vraiment pas le moment!
 
Pendant qu’un "serial killer" planétaire rôde, que font les deux hommes? Ils se dirigent tout droit au resto du coin pour aller manger de la… tarte. Et pour reprendre les propos de l’agent J (Will Smith) : « C’est vrai que c’est inutile et contreproductif, mais pourquoi pas? »
 
En effet, pourquoi pas?

Guidé par l'inspiration


En étant inspiré, vous pouvez entreprendre de grandes choses.

En inspirant les autres, vous pouvez les réaliser.
 
* * *

 Quand vous êtes inspiré par un but élevé,
ou par quelque extraordinaire projet,
toutes vos pensées brisent leurs chaînes;
votre esprit transcende ses limites,
votre conscience se déploie dans toutes les directions,
et vous vous retrouvez dans un monde nouveau,
absolument merveilleux.
Des forces, des aptitudes et des talents inexploités
se manifestent, et vous vous rendez compte
que vous êtes beaucoup plus génial
que vous n'auriez pu l'imaginer.
(Patanjali)
 
* * *
 
Des exemples?
 
Miguel Broeckaert avec son magazine L'Espion de Quartier;
Miriam Peters Rouyer avec ses toiles et ses cours de peinture;
Christine Vallières avec son événement le "Bellyfit fait vibrer le Québec";
Hervé Lefebvre de Lattre avec son Île Verte,
et bien d'autres...
 
Tous ces gens avaient un projet extraordinaire en tête; ils y ont cru.
Ils y ont cru tellement que d'autres se sont mis à y croire.
 
En ce lundi matin, provoquez l'étincelle et...
Inspirez-vous!
Inspirez-nous!
 
Bonne semaine tout le monde!

Jocelyne Gagné (Mésange)
 
(Cliquez sur les liens en bleu pour découvrir ce qui les inspire et nous inspire.)
 
 

 


 

Les seins de...

L'ampleur de l’amour de tante Georgette pour les enfants n’avait d’égal que l’étendue de sa poitrine.


J’ai gardé de ma jeunesse des souvenirs qui vous apparaîtraient après tout fort banals. Néanmoins, mes six ans furent marqués à jamais par les seins de tante Georgette. Non pas que je les ai vus en détail ou que j’étais attirée par ceux-ci, mais ils étaient… Comment dirais-je? Ah oui, débordants pour ne pas dire expansifs! À eux seuls, ils faisaient tendre à l’extrême le délicat tissu, prêts à faire péter les premiers boutons de son chemisier. 
 
Comme un cheval qui ne supporte pas le mors, ses seins toléraient mal cet affreux corset qui donnait à son ventre une dureté, une rigidité surprenante. On aurait dit une forteresse attendant une attaque, parée à recevoir les boulets de canon — quoiqu’il y eut surplombant cette muraille de quoi faire flancher cet imposant rempart.

On compte sur vous

Vous me connaissez; je n’arrête pas de dire que la vie est trop courte et que ma liste de rêves à réaliser est beaucoup trop longue. À l’approche de la cinquantaine, je peux déclarer que je suis assez fière de ce qui a été accompli jusqu’ici; je suis devenue plus sage et plus souple, animée d’une belle énergie. Vous en conviendrez, ce n’est vraiment pas le moment de mettre les freins! Et si la vie commence à cinquante ans, alors je dois me préparer pour l’arrivée de mes vingt ans. (Ben quoi? Des rêves, ça se planifie!) Donc, pour mes soixante-dix ans, j’ai bien l’intention d’être pilote d’un beau coucou. J’avais prévu le coup pour mes quatre-vingts ans, mais mon fils m’a fait prendre conscience que personne ne monterait à bord d’un avion piloté par une vieille dame qui s’amuse à faire des vrilles dans le ciel. (Allons donc! On a peur des sensations fortes maintenant?) Et puis je me suis dit : « C’est vrai, j’aurais bien aimé faire de la voile, mais je ne sais pas nager. Donc, à quoi ça me servirait de savoir piloter si je ne sais pas battre des ailes? En cas de pépin, ça pourrait être utile, non? »

C’est clair, je dois avoir confiance en mon mécanicien.