Avant quarante ans, je mangeais tout ce qui me
tombait sous la main et rien ne troublait mon sommeil. De quarante à cinquante
ans, certains aliments m’empêchaient de dormir. À soixante ans, je ne dors
plus; je pense à tout ce que je ne peux plus manger.
Jocelyne Gagné
Pour visualiser la recette, cliquez ici.
Bonsoir Mésange,
RépondreSupprimerj'espère que tu peux encore te régaler du plat de cette belle photo !
Entre ce que je ne devrais plus manger et ce que je ne mange plus il y a un océan...et ma taille s'en ressent vraiment hélas. Il est aussi difficile de refuser systématiquement ce qu'on nous propose sans passer pour rabat joie, et même souvent un peu goujat, quand l’hôtesse se donne la peine de confectionner elle même un délicieux repas n'est ce pas vexant de bouder devant son assiette ?( je ne parle pas des aliments interdits comme le sucre à un diabétique ou le gluten à un intolérant).
Savoir garder une juste dose entre convivialité et régime afin de passer une soirée détendue dans le bonne humeur est ce qu'il y a de meilleur.
je t'embrasse Mésange (je sais les Mésange ont un appétit d'oiseau ,-)))
Ma chère Josette,
SupprimerTon commentaire est des plus réalistes. Ô combien c’est difficile de refuser un dessert quand notre estomac est déjà étiré au max par la dernière bouchée du plat principal – cette bouchée qui nous fait dire tout bas : « Ah j’ai trop mangé. » Et puis c’est toujours à ce moment que l’hôtesse ajoute : « Gardez de la place pour le dessert; vous ne serez pas déçus! » Oh my God! On aurait envie de suggérer le petit sac pour emporter mais on se garde une certaine gêne, d’ailleurs on a déjà passé le point de non-retour. De l’étroitesse de notre ceinture, on est passé à l’inconfortable, et la situation risque de s’aggraver si on ose respirer… Il va bien falloir pourtant…
Et puis l’impassable arrive: le bouton lâche et notre résistance aussi. On avale le divin dessert et on se dit que la prochaine on fera mieux. Mais d’une fois à l’autre, le mieux qu’on puisse faire c’est de faire honneur à celle qui s’est tant démenée devant les fourneaux!
Ton billet m’a fait sourire ma belle Josette. Comme j’aime te lire! Merci d'être passée.
Bonne et douce semaine xoxo
P.-S. Certes j'ai un appétit d'oiseau, mais je mange tout le temps ;-)
Bonsoir Mésange. La conclusion de ton article m'a fait sourire....
RépondreSupprimerCe serait quand même le comble de ne plus pouvoir dormir à cause de la frustration ;-) Mais je me dis que ce que tu as écrit ne peut qu'être virtuel. Ne me dis pas que tu as soixante ans toi qui d'après les photos en fait 20 de moins... Je n'y crois pas....
En tout cas , je serais très intéressée par la recette de ce beau gâteau (sucré ou salé ?) que tu as utilisé pour illustrer ton article.
Je te fais de gros bisous jolie Mésange :-)
Chère Oxygène, il m’arrive parfois de prendre la voix d’amis, de membres de la famille ou d’inconnus dans mes écrits et tu as raison je n’ai pas soixante ans; quoique certains matins mes muscles me disent le contraire, ha!ha!ha!
SupprimerJe constate que pour les personnes plus gourmandes que moi (moi, c’est les livres) certaines frustrations finissent par les garder éveillées. Elles regardent avec envie les collations de fin de soirée de leur conjoint(e) (plus jeune ou plus mince) ou de leurs enfants et ruminent de ne pas pouvoir en faire autant.
Ton flair ne t’a pas trompée… Merci d’être passée!
Bonne semaine douce Oxy!
Plein de bisous pour toi xoxox
P.-S. Tu trouveras la recette en cliquant sur le lien.