Parfois, on en entend de toutes les sortes au restaurant. Ce qui se passe aux tables voisines ne nous concerne pas, mais il arrive qu’on ne puisse faire autrement; les gens discutent comme s’ils étaient seuls au monde alors on entend tout!
Dernièrement, tout près de notre table, il y avait deux femmes qui discutaient et l’une d’elles semblait de fort mauvaise humeur. De par ses propos, il était évident qu’elle n’appréciait guère son patron. Le pauvre diable avait tous les défauts du monde et pire encore, c’était un homme! Elle mit fin à son monologue en déclarant que, dorénavant, elle ferait le strict minimum car il n’en méritait pas davantage!
Comme si le mérite pouvait être revendiqué, marchandé, mesuré…
Dernièrement, tout près de notre table, il y avait deux femmes qui discutaient et l’une d’elles semblait de fort mauvaise humeur. De par ses propos, il était évident qu’elle n’appréciait guère son patron. Le pauvre diable avait tous les défauts du monde et pire encore, c’était un homme! Elle mit fin à son monologue en déclarant que, dorénavant, elle ferait le strict minimum car il n’en méritait pas davantage!
Comme si le mérite pouvait être revendiqué, marchandé, mesuré…
Regardons d’un peu plus près ce qui se passe lors d’une embauche en milieu de travail. Essentiellement, il y a un échange - l’employeur verse un salaire en échange de nos compétences, c’est en quelque sorte une forme de troc dont chacun connaît les enjeux, c’est un contrat écrit. Puis, il y a une entente dont celle-ci stipule qu’en recevant ledit salaire, on doit faire de notre mieux pour répondre aux besoins de l’entreprise et que parallèlement, l’employeur doit donner son maximum pour rentabiliser ses affaires afin que l’on puisse conserver son emploi. C’est un accord non verbal, un pacte non écrit.
Jusqu’ici cela semble un marché équitable : on offre nos compétences pour avoir un salaire, on est rémunéré pour accomplir un travail car nos talents, nos connaissances, notre expérience valent leur pesant d’or. Par ailleurs, il arrive que certains espèrent recevoir, en plus de leur salaire, une dose de valorisation, des remerciements, de l’approbation, un genre de boni sous forme de félicitations. Ils ont, en quelque sorte, des attentes mais ces dernières ne sont écrites nulle part. C’est un extra qui peut être offert uniquement selon le bon vouloir de l’employeur. Alors pourquoi attendre la tape dans le dos qui peut-être jamais ne viendra? Si vous êtes fier de ce que vous avez accompli, la voilà votre récompense!
Avant de travailler pour quelqu’un, on doit tout d’abord être capable de travailler pour soi-même, c’est-à-dire que chaque rapport, coup de fil, présentation que l’on a à faire doit être réalisé avec soin afin d’éprouver de la satisfaction pour le travail bien fait et de la fierté pour notre habilité à faire les choses avec compétence. Soyez critique envers votre productivité et appliquez-vous à améliorer le processus ainsi que le produit fini, car vous êtes votre propre carte de visite. Vos fournisseurs, vos collègues, vos amis, vos supérieurs sont vos clients; ils doivent être aussi satisfaits des résultats que vous l’êtes.
Offririez-vous à votre conjoint, à votre mère ou à votre enfant une montre qui ne fonctionne qu’à moitié nécessitant quelques petites tapes de temps à autre pour la remettre en marche? Bien sûr que non! On offre aux autres ce qui fonctionne bien pour nous; on donne ce qu’il y a de mieux!
On a tous des bras, des jambes, un corps, une tête, un cœur, etc. On est tous semblable. Ce qui nous différencie c’est ce qu’on fait avec ce que l’on a. Donner le maximum, c’est se dépasser, c’est croire en soi, c’est voir au-delà du possible, c’est imaginer ce qu’il y a de plus beau et de finalement l’atteindre.
Au travail comme dans la vie, le plus qui fait la différence c’est… VOUS!
Mésange
Jusqu’ici cela semble un marché équitable : on offre nos compétences pour avoir un salaire, on est rémunéré pour accomplir un travail car nos talents, nos connaissances, notre expérience valent leur pesant d’or. Par ailleurs, il arrive que certains espèrent recevoir, en plus de leur salaire, une dose de valorisation, des remerciements, de l’approbation, un genre de boni sous forme de félicitations. Ils ont, en quelque sorte, des attentes mais ces dernières ne sont écrites nulle part. C’est un extra qui peut être offert uniquement selon le bon vouloir de l’employeur. Alors pourquoi attendre la tape dans le dos qui peut-être jamais ne viendra? Si vous êtes fier de ce que vous avez accompli, la voilà votre récompense!
Avant de travailler pour quelqu’un, on doit tout d’abord être capable de travailler pour soi-même, c’est-à-dire que chaque rapport, coup de fil, présentation que l’on a à faire doit être réalisé avec soin afin d’éprouver de la satisfaction pour le travail bien fait et de la fierté pour notre habilité à faire les choses avec compétence. Soyez critique envers votre productivité et appliquez-vous à améliorer le processus ainsi que le produit fini, car vous êtes votre propre carte de visite. Vos fournisseurs, vos collègues, vos amis, vos supérieurs sont vos clients; ils doivent être aussi satisfaits des résultats que vous l’êtes.
Offririez-vous à votre conjoint, à votre mère ou à votre enfant une montre qui ne fonctionne qu’à moitié nécessitant quelques petites tapes de temps à autre pour la remettre en marche? Bien sûr que non! On offre aux autres ce qui fonctionne bien pour nous; on donne ce qu’il y a de mieux!
On a tous des bras, des jambes, un corps, une tête, un cœur, etc. On est tous semblable. Ce qui nous différencie c’est ce qu’on fait avec ce que l’on a. Donner le maximum, c’est se dépasser, c’est croire en soi, c’est voir au-delà du possible, c’est imaginer ce qu’il y a de plus beau et de finalement l’atteindre.
Au travail comme dans la vie, le plus qui fait la différence c’est… VOUS!
Mésange
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